Le panda qui voulait des cendres (mais qui n'avait pas d'amulette) |
Une voiture, avec banquier incorporé, se fait incendier sous un pont en Touraine. Les journaux penchent immédiatement pour la thèse d’un meurtre commandité par des hommes d’affaires roumains. On parle même meurtres rituels du fin fond de la Valachie.
A priori, pas de quoi exciter le Panda, surnom donné par ses amis à Dimitrios Pandatoros, un expert financier auprès du Word Wide Institute for Nature (WWIN). Un paradoxe ambulant, ce Panda qui fourre ses pattes dans la finance verte et milite pour une justice très biodiverse ...
Sauf que le Panda n’a pas la frite sans OGM en ce moment, pour cause de vacances inopinées de sa chérie, Clarisse, partie se refaire une beauté plutôt particulière sur les bords de la Grande Bleue, et qu’il a besoin de se changer les idées loin de Paris. Sauf, aussi, que les conclusions de l’enquête sur le meurtre de Tours sont trop rapides pour ne pas être louches, et que le Panda a bien besoin d’un petit coup de louche de temps en temps.
Et puis, quel est ce service très spécial, que tout le monde redoute ? Clarisse à Antibes et Dimitrios au pays du Bourgueil en apprendront long sur certaines méthodes privées d’investigation, qui fleurent salement l’Inquisition. Le Panda manquera bien de s’y griller les coussinets. Heureusement que sa vétérinaire préférée a le chic pour manier l’extincteur contre les pyromanes vivisecteurs.
Histoire d’amour ou d’amulette ?